

J’ai fini La mort de l’auteur de Nnedi Okorafor. C’était pas mal, mais un peu décevant malgré tout. J’en avais des attentes plus métatextuelles je pense, ou bien plus terre à terre, et j’ai trouvé que ça ramait et tournait en rond pendant un moment. Après, elle écrit bien, ça part un peu dans tous les sens narrativement, mais peut-être pas assez sur les autres plans à mon goût, en tout cas pour ce livre-là. Je ne sais toujours pas quoi penser de ses livres (ce n’est pas le premier que je lis d’elle), alors j’en lirai d’autres à l’occasion.
Lu aussi Tiohtià:ke (Montréal) de Michel Jean, qui raconte un bout de la vie d’un jeune homme innu au Québec à sa sortie de prison, banni de sa communauté, qui se retrouve à la rue. C’est étonnamment un livre avec beaucoup d’espoir, assez beau, alors qu’il aborde constamment des sujets difficiles. Je l’avais emprunté parce que la couverture est jolie.





I finally know why I am the weirdo at parties.