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Cake day: June 2nd, 2025

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  • Après avoir regardé, il y a quelques mois sur Arte, The Ipcress File (1965) que j’avais beaucoup aimé, je me suis lancée dans le deuxième volet de cette trilogie d’espionnage britannique. Dans Mes funérailles à Berlin (1966), on retrouve notre anti-James Bond, Harry Palmer, toujours campé par Michael Caine, un espion à l’esprit contestataire, forcé de travailler pour le MI5 afin d’éviter la prison pour insubordination.

    Beaucoup moins de paperasse administrative que dans The Ipcress File (à mon grand dam) et toujours aussi peu d’action (au sens James Bondien du terme).
    Le premier volet, se passait (presque) totalement en Angleterre. Dans celui-ci, l’essentiel se passe dans une Berlin en pleine guerre froide, traversée par le mur. On passe d’un côté et l’autre du check point Charlie : Berlin Ouest est pleine de vie, de commerces et de bars, tandis que Berlin Est souffre de ses grands immeubles décrépis et de ses rues désertes. On y croise des allemands, des russes, des suisses, des israëliens. Et les services secrets britanniques sont bien peu scrupuleux dans leurs recrutements…

    Moi qui ne suis pas une grande fan de James Bond (même si j’en ai vu un paquet), je continue de bien accrocher avec cette tête à claque d’Harry Palmer, bien que ce film soit un peu en deça du premier.

    Assez rigolo d’ailleurs qu’une partie de l’équipe de production soit la même que celle des 007 et que John Barry ait aussi composé la musique du premier volet !





  • Œil@tarte.nuage-libre.frtoForum Libre@jlai.luSphinx tête de mort
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    10 days ago

    Un lien avec ton pseudo ?


    https://www.nationalgeographic.fr/animaux/le-secret-du-sphinx-tete-de-mort

    Le sphinx tête-de-mort (Acherontia atropos) n’est pas un papillon comme les autres. Son corps aérodynamique, associé à une musculature vigoureuse qui commande des ailes de grande envergure, en fait l’un des plus rapides et lui permet de parcourir des milliers de kilomètres, soit bien plus que la plupart des lépidoptères.
    Son alimentation n’est pas ordinaire non plus. Très friand de miel, le sphinx tête-de-mort n’hésite pas à pénétrer dans les ruches pour ingérer des quantités de miel parfois supérieures à son propre poids. Car sa trompe, courte et robuste (contrairement à celles de ses congénères), lui permet d’aspirer avec force le miel, un produit bien plus visqueux que le nectar.
    En outre, une membrane interne de la trompe fonctionne comme une valve pour faciliter la déglutition.
    Plus insolite encore : l’Acherontia atropos est capables d’émettre un cri, une rareté dans le monde des insectes. Le son est double : d’abord, l’air aspiré fait vibrer une membrane située dans la trompe, puis ladite membrane s’ouvre pour expulser l’air. Un peu comme les mouvements de compression et d’expansion d’un accordéon, en plus rapide : le cycle dure 0,2 seconde.
    Mais à quoi sert ce cri ? Sans doute à empêcher l’attaque des abeilles, le son émis ressemblant au bourdonnement de la reine. Nombre d’entomologistes pensent que la production de ce son est due au système d’ingestion. Comme cela s’est produit maintes fois dans l’évolution, une structure sélectionnée pour résoudre un problème acquiert une autre fonction. Ici, la musculature céphalique créée pour engloutir le miel constitue une parfaite pompe à air.










    • Respecter le code de la route et s’arrêter aux passages piétons et aux feux pour laisser passer les piétons.

    Scrogneugneu.

    Là où j’habite (une grande ville), on est sur un bon 95% de cyclistes a vue de nez qui en ont rien à cogner du code de la route. Je suis réellement surprise quand j’attends au passage piéton et qu’un cycliste me laisse passer pour traverser, sans que j’ai besoin de m’imposer…
    D’ailleurs, même quand on s’impose, ils s’en foutent…

    Note : je ne suis absolument pas anti-cycliste toussa, mais un effort svp en ville. Quand les automobilistes respectent plus les piétons que les cyclistes, c’est qu’il y a un problème.


  • Ce sont les cours en amphithéâtre qui sont bruyants ou les travaux dirigés ? Si c’est les TD, c’est étonnant que les chargés de TD ne disent rien… On n’est plus au collège… En amphi, dans mon souvenir, tout dépendait de la taille et de l’endroit où tu étais assis (en général, dans le fond, ça blablatait pas mal). Mais bon, ça c’était en L1. Ça se calmait tout de suite dès la L2…

    Courage en tout cas. Ne te laisse pas abattre par le comportement des autres. C’est tes études et ton projet professionnel avant tout !



  • Ça me rappelle une anecdote. Il y a plusieurs années, GRDF était intervenu dans mon immeuble sur la colonne de gaz. Ils avaient laissé un papier sous les portes des locataires leur disant qu’ils pouvaient appeler un technicien pour la réouverture ou le faire eux-même en donnant des indications. Mon voisin avait rouvert lui-même le compteur à notre étage (le dernier), sur le palier, mais cela a provoqué une fuite de gaz, pour laquelle j’ai du appeler le service d’urgence de GRDF.

    Lorsque le technicien est venu, il nous a expliqué que GRDF proposait cette option aux clients pour limiter les interventions et le personnel. Mais ce qu’ils n’indiquent pas, c’est que si le client rouvre lui-même le compteur et qu’un incident s’ensuit, il est alors le seul responsable.


  • Araignée géante à l’église Sainte-Eustache !

    Le numéro de septembre1821 deThe Scots Magazine and Edinburgh Literary Miscellany, page 268, relate :

    The sexton of the church of St Eustace, at Paris, amazed to find frequently a particular lamp extinct early, and yet the oil consumed only, sat up several nights to perceive the cause. At length he discovered that a spider of surprising size came down the cord to drink the oil. A still more extraordinary instance of the same kind occurred during the year 1751, in the Cathedral of Milan. A vast spider was observed there, which fed on the oil of the lamps. M. Morland, of the Academy of Sciences, has described this spider, and furnished a drawing of it. It weighed four pounds, and was sent to the Emperor of Austria, and is now in the Imperial Museum at Vienna.

    Soit :

    Le sacristain de l’église de Saint-Eustache, à Paris, étonné de trouver fréquemment une certaine lampe avec son huile consommée alors qu’elle était éteinte de bonne heure, veilla plusieurs nuits pour en découvrir la cause. Il finit par découvrir qu’une araignée d’une taille surprenante descendait le long du cordon pour boire l’huile. Un exemple encore plus extraordinaire du même genre se produisit en 1751, dans la cathédrale de Milan. On y observa une araignée gigantesque qui se nourrissait de l’huile des lampes. M. Morland, de l’Académie des sciences, a décrit cette araignée et en a fourni un dessin. Elle pesait quatre livres [soit 1,8 kg] et fut envoyée à l’empereur d’Autriche. Elle se trouve aujourd’hui au Musée impérial de Vienne. »